Weid entreprise
Notre manifeste
Du sens au travail, de l’énergie au Savoir
La continuité dans l'exigence
Pour apporter de bonnes réponses, encore faut-il se poser les bonnes questions
Lorsque surviennent des évènements ou de nouvelles problématiques sociétales, il faut les analyser avec le recul nécessaire et sur la base de la connaissance des concepts qui les sous-tendent afin d’éviter des jugements inspirés par l’émotion ou le dogmatisme. Comprendre, c’est mieux juger, donc mieux agir.
Conceptualiser est une nécessité. Toutefois, cela conduit souvent à ce que des abstractions – le capitalisme, le socialisme, l’entreprise en général, l’hôpital en général, la société, l’Europe, la mondialisation… – soient désignés coupables, comme pour mieux déresponsabiliser les acteurs.
Un événement WeiD est l’occasion de mieux saisir comment et pourquoi les choses surviennent et d’identifier les causes et comportements concrets pour s’interroger sur notre capacité à les faire advenir autrement, ou mieux.
Croire, c’est s’interroger
Un célèbre tableau de Raphaël, L’École d’Athènes,met en scène Platon et Aristote. Platon semble dire : la vérité vient d’en haut, de la métaphysique doit procéder la compréhension du monde réel ; de l’inspiration et des concepts doit procéder l’appréhension de ce que la Nature cache. Aristote semble dire : la vérité est ici-bas, de l’observation de ce que la Nature révèle, des réalités sensibles et de la physique doit procéder la science, dans une démarche inductive. Dans ce tableau, un grand absent mais une présence : celle de Socrate qui, par la maïeutique, voulait amener chacun à trouver ses réponses en se posant les bonnes questions. La connaissance est sans cesse renouvellement, remise en question des convictions.
Être, non paraître
L’éloquence sans la connaissance, c’est du vent. Avec, c’est du tonnerre. Le fond doit conditionner la forme et non la forme le fond. C’est sur de solides fondations que doit se bâtir l’éloquence et surtout la capacité à convaincre.
Prendre au sérieux ce que l’on fait sans jamais se prendre au sérieux. Les facéties de Don Quichotte que tout le monde connaît sans l’avoir lu, le Bloody Mary qu’Hemingway a peut-être inventé pour masquer son haleine, les effluves en un lieu intime du lendemain d’un dîner d’asperges chez Proust, la Plaisanterie qui initie l’art du roman de Kundera, des scènes de films où apparait Margot Robbie… n’ont aucune raison d’être absents d’une réflexion qui gagne toujours à être joyeuse. Partager le savoir, oser le confronter à celui des autres, vivifie. Le savoir est une force. Il est aussi une fête
Témoignages
Les élèves parlent de nous...
Benjamin, au sujet de la prépa ECG de WeiD
Jeanne, à propos des spécificités de WeiD
Adrien, au sujet de WeiD